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Tous les articles du mois de janvier 2012

Snes : F-Zero

Publié par Maxlam Lussier le 31 janvier 2012
Publié dans : Jeux Rétros. 4 commentaires

Le jeu

Offert sur la Super Nintendo de 1990 à 1992, dépendamment des pays, ce jeu de courses futuristes a fait son apparition dans le monde. Bien qu’il fût « très populaire » et présent au Japon (plus de deux millions de vente, quand même) en recevant le label « Choix du joueur », il n’a pas connu la même durée de vie en Europe, je vous expliquerai la raison sous peu. De plus, la cartouche venait souvent comme démo à l’achat de la console, permettant donc de faire connaitre le projet. Il est maintenant possible de le télécharger sur la Wii ainsi que de le retrouver sur d’autres consoles comme jeu « amélioré », par exemple sur la Nintendo 64.

Résumé

Les voitures futuristes font votre bonheur ? C’est donc peut-être le jeu qu’il vous faut, mais regardons d’abord les attributs de ce jeu. Déjà, le point majeur et négatif, c’est qu’il n’est pas possible de joueur à deux joueurs et c’est effectivement ce qui lui retire son charme (les critiques aussi, bien qu’ils aient appréciés le jeu en soi, trouvaient qu’il aurait gagné sur ce point). Le terme F-Zero s’applique au nouveau type de Formule 1 créé comme forme de divertissement Nec plus ultra du futur, où vous allez faire des balades de santé à 500 KM/H. La vitesse ne dépasse pas seulement la limite du possible, mais bien aussi la limite du plaisir, puisque bien que les obstacles passent rapidement, ils sont si faciles à éviter qu’on pourrait croire qu’ils se trouvent à des centaines de kilomètres de distances les uns des autres. Cinq courses différentes sur trois circuits permettent au joueur de « planer » plus que de rouler, et ce, toujours à cette vitesse d’hurluberlus. Le célèbre personnage Captain Falcon ainsi que et trois autres collègues sans intérêt joutent pour la victoire avec quatre vaisseaux de couleurs et formes différentes, c’est là le seul choix qui vous est proposé tout au long du jeu. Le tout se déroule à l’an 2560 et le joueur ne peut que participer au Grand Prix ou faire des Pratiques très, très monotones. Les routes sont assez simples, mais il faut tout de même faire attention pour ne pas entrer en collision avec les obstacles (il faudrait être néophyte) ou encore avec l’extérieur de la route pour ne pas littéralement exploser (ce qui, toutefois, est la seule partie amusante du jeu).

Commentaires

Pour ma part, je trouve le jeu réellement mauvais, non seulement parce qu’il n’est pas possible d’y jouer avec des amis (lui confiant donc le titre de Premier Jeu de Super Nintendo pour les solitaires), mais aussi parce qu’il ne possède aucun attribut unique à lui-même, malgré sa création précoce. L’histoire est presque invisible, le graphique (et pourtant, je suis quelqu’un qui adore les vieux graphiques) et la musique sont à la limite du répétitif et il est possible de faire la totale en moins de 3 heures. Bref, le jeu qu’il est possible de trouver à cinq dollars (environs trois euro) dans tous les magasins. Outre ce, j’aime bien lorsqu’un jeu offre des Bonus avec son achat; dans le manuel du jeu, il est possible de retrouver une petite bande dessinée de 8 pages, axés sur Captain Falcon. Bref, un jeu très facile d’accès et pour les enfants n’aillant pas appris à appuyer sur deux boutons à la fois. La seule raison pour laquelle les critiques l’ont aimé est probablement parce qu’il était le seul existant sur le marché. Finalement, son manque de contenu ne lui permet même pas d’être bon à tuer le temps, sauf si vous aimez les paysages qui annihilent les yeux. Si j’avais à donner une note à ce jeu, ce serait bien évidemment celle placée dans son titre.

Voici un petit lien vidéo équivalent à ce que vaux le jeu de nos jours :

Néo-Gaming : F2P

Publié par Alexandre ''Zeviking'' Boisvert le 30 janvier 2012
Publié dans : Jeux PC et Consoles. 2 commentaires

BRACE YOURSELVES ! A WALL OF TEXT IS COMING !

Il y a quelques années de cela, un gars, un coréen probablement, trouva l’idée de la décennie qui changea l’univers du gaming à tout jamais, il inventa le concept F2P. Le concept est simple, permettre à un client de télécharger et jouer à un jeu donné sans qu’il n’est à débourser un seul penny, c’est bien non ? Il y a par contre plus au concept bien évidemment, un jeu en ligne ne peut être produit, créer et mis à jour régulièrement pendant un long moment sans qu’aucun revenu n’est été généré par celui-ci. Bien entendu, nous pouvons demander aux joueurs d’offrir des donations pour supporter les développeur, ou bien encore donner des beaux objets promotionnels à ceux qui veulent bien payer une somme X pour le jeu, mais encore, cela ne sera jamais assez pour faire fonctionner un MMORPG ou bien un ARTS. Comment cette idée peut-elle donc fonctionner ?

Pour le consommateur, le F2P est un don de Dieu le père lui même (Bouddha, Allah et le Flying Spaghetti Monster sont aussi acceptés.) ! Avec le F2P le consommateur peut jouer à un jeu et l’essayer sans n’avoir à sortir son porte-feuille, n’est-ce pas fantastique ? Si je n’aime pas le jeu, je n’ai qu’à ne plus jouer et passer à autre chose ! Si un jeu auquel je jouais n’était pas F2P et que cela empêchait mes amis de jouer avec moi, ils n’ont maintenant plus d’excuse pour refuser de s’approprier le jeu en question ! Par contre, il semblerait que je ne puisse avoir accès à tout les aspects que le jeu semble pouvoir offrir, dommage ! Le jeu m’offre par contre des options pour boucher ce vide de contenu. L’option la plus offerte est de payer une somme monétaire généralement convenable pour acquérir une pièce d’équipement, objet ou tout autre élément que le jeu peut offrir et l’avoir indéfiniment. La seconde option, non-offerte dans tout les jeux F2P, est d’acquérir un nombre élevé de points en jouant au jeu, points avec lesquelles je pourrai acheter quelque chose plus tard, c’est certainement beaucoup plus long de cette façon, mais au moins je n’ai pas l’obligation de payer pour avoir accès à tout le contenu.

Mais pour l’industrie, le F2P est encore plus avantageux pour eux que pour le consommateur. Ce système de paiement permet au joueur de payer la valeur qu’il considère juste pour le jeu auquel il joue, un rêve pour tout CEO. Prenons l’exemple d’un MMORPG passant F2P, en théorie, les joueurs investissant déjà 15$ par mois pour jouer au jeu devraient continuer à investir dans les alentours de 15$ par mois dans le jeu en question, s’ils jouent déjà au jeu c’est qu’ils sont prêts à payer pour y jouer et qu’ils considèrent que le jeu en vaut amplement la peine, non ? Bien entendu, en temps que bon développeur, vous devez vous assurez que le joueur ait de bonnes raisons de continuer à payer.

Mais comment s’assurer de faire du profit ? En théorie, le modèle F2P devrait augmenter l’accessibilité au jeu et par le fait même augmenter le nombre de joueur énormément. Les personnes ne voulant payer pour un jeu vont l’essayer et probablement l’aimer si le jeu en vaut la peine, leurs amis vont venir, le bouche à oreille va prendre effet et cette publicité gratuite va assurer une augmentation de population élevé. Population qui n’est peut-être pas intéressée à payer 15$ par mois pour jouer à un jeu mais peut-être que 5$ est un coût convenable pour eux. Il faut aussi considérer les anciens joueurs, il est certain qu’une partie d’entre eux considèrent que le jeu vaut plus que le 15$ que vous recherchez et vont acheter pour beaucoup plus.

Une fois que les joueurs sont là, le développeur doit s’assurer que les éléments de jeux qu’ils offrent en micro-transactions vendent. La plupart des jeux faisant leurs profits par micro-transactions doivent donc profiter de nombreux défauts dans la psychologie humaine sans trop exagérer. La plupart du temps le système permettra au joueur de payer pour avoir des avantages en jeu sur les autres joueurs, que ce soit par l’achat d’items dans un MMORPG ou de champions/héros dans un ARTS. C’est dans la nature humaine de vouloir être supérieur aux autres, alors si cette supériorité ne coûte que 6,50$ au joueur, pourquoi ne le ferait-il pas ? Cela créera probablement de l’envie chez les autres et voudront eux aussi acheter un élément de jeu les rendant plus  »cool » que la petite masse. De nombreux autres moyens de ventes communs sont utilisés dans les magasins de jeux F2P, notamment le concept d’offres spéciale, d’offres limitées, d’arrondissement(4,99$ au lieu de 5$), offrant un avantage en jeu, la charité(un % de la vente va à UNICEF), collections d’items gratuit sauf les 2 ou 3 derniers qui sont payant pour compléter le tout, des escomptes sur produits et j’en passe énormément car la liste peut s’allonger encore !

Il faut comprendre par contre qu’au final, ce n’est pas tout le monde qui met de l’argent dans ce genre de jeu, à vrai dire, il n’y a que 5 à 20% des joueurs qui mettent de l’argent dans ce genre de jeu sur une base mensuelle. Mais comme le système semble bien fonctionner jusqu’à présent, il faut donc présumer que le peut de personnes mettant de l’argent dans ces jeux investissent énormément et prennent la place de ceux qui ne payent pas.

Bien entendu, le concept F2P n’est pas vraiment méchant pour le consommateur. Le système offre seulement à l’industrie énormément de nouvelles façon de mettre leurs mains dans notre porte-feuille et augmenter leur profit sans que les joueurs ne s’en rendent vraiment compte, nous oublions rapidement quand nous faisons de petits achats par-ci par-là.

Lors du prochain article de Néo-Gaming, je vais parler d’un sujet vraiment amusant, Farmville ! 😀 Tout le monde aime Farmville !

J’allais oublier, voilà mon vidéo de la semaine : http://www.youtube.com/watch?v=KyDHaKtROZo&list=PL627F181E0CB37E19&index=2&feature=plcp

Autre chose, depuis l’ouverture du blog, Maxlam chiale car il ne peut ajuster le texte en <Justifié>. lol.

Un lot de liens

Publié par Maxlam Lussier le 26 janvier 2012
Publié dans : Web. 1 commentaire

Aujourd’hui, je fonde le style d’article nommé « Un lot de liens » qui contiendra plusieurs vidéos cocasses, intellectuels ou, voire tout simplement idiots. Une question doit donc (ou pas) présentement stagner sur vos lèvres ou encore dans vos intellects de surdoués, c’est-à-dire : « Mais…pourquoi ? ». La réponse en est tout aussi simple : « Parce que ! ». Je déploierai ces quelques détails pour satisfaire vos esprits curieux et indignent de notre cher Nikaö; la génération où je me trouve en est une qui se sent souvent désabusée et où l’humour n’a maintenant plus de réelles « limites ». Il est possible de rire de tout, mais surtout d’un rien, d’où évidemment la popularité de sites et communautés tels que 4Chan et que MemeBase. Je reviendrai un autre jour sur l’établissement de ces deux communautés d’internautes disjonctés et souvent sans goût. Pour le moment, je me limiterai simplement à vous partager quelques liens de vidéos à mon goût afin, non seulement de vous faire questionner sur ma santé mentale, mais aussi pour vous faire rire un peu.

J’aimerais commencer avec un vidéo simple afin de ménager votre bonne conscience, je débuterai donc avec « Vidéo Games on Crack 2 » où plusieurs personnages de jeux vidéos se voient attaquer divers « Bonhommes Allumettes » avec un air musical de Mario à la guitare électrique. Qu’est-ce qu’il y a de drôle ? Probablement rien, sinon l’absurdité des situations ainsi que la rapidité de la plupart des actions :

Pour rester dans la simplicité, je passerai par l’inévitable « ASDF 3 » qui a parcouru le monde avec une appréciation hors du commun. L’absurdité, cette fois, s’explique par l’impossibilité des événements qui, toutefois, sont humoristiques grâce à ses inepties, ses sarcasmes flagrants et surtout, son ironie :

Toujours sur le plan de l’ironique, je voudrais vous présenter (pour ceux qui ne les connaissent pas déjà) le groupe « Cyanique and Happiness ». Leurs vidéos, souvent très courts, représentent de mini-histoires amusantes où les personnages principaux vivent pratiquement toujours un contexte de défaite, d’impuissance ou de perte…c’est bien évidemment ce que nous aimons voir, la défaite d’autrui. J’aimerais préciser que la petite musique à la fin est EXCELLENTE et récurrente dans leurs vidéos :

Bien que vous ne les appréciez pas beaucoup (je présume, du moins), j’aimerais vous présenter un vidéo fait par des français critiquant la facilité de se faire de nouveaux amis, et ce, grâce à Internet. Une mise en situation, un drame, une bonne blague cinglante et c’est parti pour le plaisir de n’importe quel désabusé-profond :

Mon dernier vidéo et non le moindre sera celui de « We didn’t start the flame war » qui a été fait par NewGrounds et qui, pour une raison que j’ignore, est surtout disponible sur quelques sites douteux et dignes de nous. En soi, il est question d’un résumé comique (mais représentatif) des communautés internautes passant leur temps sur divers forums avec quelques références aux publicités du moment (ou de l’époque, à vous de voir). Je préciserai simplement que les « Flames Wars » sont les guerres démarré (Trolling ou non) sur les forums et qui finissent toujours (toujours) par déborder de manière inhérente :

Pour le prochain « Un lot de liens », je vais axer mes vidéos sur l’aspect un peu plus « underground » afin de vous faire découvrir des choses que vous n’auriez probablement jamais imaginées. J’espère simplement que ces liens étaient plus divertissants que lobotomisant.

Snes : Bomberman II

Publié par Maxlam Lussier le 22 janvier 2012
Publié dans : Jeux Rétros. Laisser un commentaire

Le jeu

Ce jeu a été créé par Hudson Soft et a vu le jour en 1994 au Japon et aux Amériques pour ensuite arriver en Europe durant l’année 1995. Afin de garder le concept du jeu précédent, il est question de jeux de bombes où le joueur seul peut suivre l’histoire ou encore, avec des amis, jouer à se combattre. Bien que ce concept reste le même que lors du premier Bomberman, plusieurs niveaux et types de bombes ont été ajoutés, sans compter le graphique qui a, lui aussi, légèrement évolué. Malheureusement et c’est une grosse perte pour le jeu en soi, il est impossible de faire l’histoire principale à deux joueurs, contrairement au prédécesseur de la série.

Résumé

À l’aide de leur vaisseau-spatial respectif bourré de niveaux, cinq extra-terrestres viennent envahir la terre où habite Bomberman. Ce dernier devra donc se balader de vaisseau en vaisseau afin de débusquer le capitaine de chacun et de le vaincre. Encore une fois, fidèle au jeu précédent de la série Bomberman, il est question de passer un niveau à la fois pour se rendre au « Boss » et le vaincre et cette fois, même s’il n’y a que cinq mondes, ils sont beaucoup plus difficiles que dans le jeu précédent. Du coté de ces « Boss », il faut d’abord vaincre le robot dans lequel ils se trouvent pour que ce dernier en sorte et vous combatte seul à seul. Toujours pour respecter le jeu précédent, il est nécessaire de vaincre chaque monstre d’un niveau pour passer au suivant, mais cette fois, la porte n’est pas à découvrir sous les blocs, ce qui n’empêche pas le joueur de rechercher un peu plus d’objets cachés sous ces derniers.

Du coté des nouvelles bombes, la plus remarquable est probablement celle à détonation. En effet, une fois que le joueur possède cette arme, ses bombes clignoterons avec une goupille sur le dessus et tant que le joueur n’appuieras pas sur le bouton de la manette, la bombe n’explosera pas, excepté si le feu d’une autre bombe la touche…il est donc ici question d’une arme très dangereuse contre des monstres qui suivent un chemin aléatoire. Elle se voit aussi très utile en multijoueurs afin d’empêcher les joueurs d’essayer de passer devant.

Commentaires

Le graphique de ce jeu est plus avancé que la moyenne à mon avis, car l’aspect de profondeur est recherché, et ce, uniquement sur une ligne d’ombre, ce qui lui offre une belle qualité de jeu. Les musiques sont un peu trop simples et même si elles ne sont pas très inspirantes pour le joueur qui se trouve au cœur de l’aventure, elles restent en accord avec le jeu lui-même et en fonction des différents niveaux. L’histoire est aussi simple que lors du premier jeu de Bomberman, mais cela n’empêche pas qu’elle est fonctionnelle afin de pousser le joueur à traverser différents mondes. Le joueur peut aisément passer des heures sur ce jeu afin de terminer la mission solo et encore plus de temps pour jouer en multijoueurs, car tout comme dans le précédent de la série, il est possible de jouer jusqu’à quatre à condition d’avoir l’accessoire nécessaire. Contrairement à d’autres jeux vidéos de cette époque, n’importe qui peut s’amuser facilement à condition de comprendre l’utilisation des deux boutons et des différentes bombes. Je considère donc ce jeu comme un excellent passe-temps aussi bien pour les enfants que pour les adultes.

Veuillez noter que je ferai un peu différent comme articles au courant des prochaines semaines, et ce, dès ce jeudi !

Snes : Bomberman

Publié par Maxlam Lussier le 17 janvier 2012
Publié dans : Jeux Rétros. 2 commentaires

Le jeu

De son nom complet Super Bomberman, ce jeu fut un des premiers de la série, c’est-à-dire qu’il vit le jour en 1993 sous la direction de la compagnie Hudson Soft. Il est possible de jouer à 4 joueurs avec l’accessoire qui offre plus d’entré pour les manettes. De plus, une série du nom de B-Daman Bakugaiden fut créé à partir de l’idéologie de Bomberman fusionné avec B-Daman, et ce, au Japon.

Résumé

En ce qui concerne l’histoire, il est question de 6 mondes très différents comportant chacun 8 niveaux. À la fin de chaque niveau, le joueur doit vaincre un puissant Monstre (Boss). Pour avancer dans les niveaux, vous devez détruire tous les monstres ainsi que trouver le téléporteur vous menant au niveau suivant. Il faut aussi noter qu’il est possible de faire le jeu principal à deux joueurs (Coopérative), ce qui facilite la tâche. De plus, à la fin de chaque niveau vous recevez un mot de passe à entrer au menu principal pour retourner à ce même niveau si jamais vous cessiez de jouer avant la fin du jeu.

L’histoire est simple; Un village au nord de celui de Bomberman est utilisé par le vile Carat Diamond et son subordonné, le scientifique Dr.Mook pour faire des combats, ce étant une mauvaise chose évidemment. Le joueur doit donc allez vaincre ses ennemis un par un; les Boss créé par le scientifique ainsi que les deux méchants principaux.

Le principe du jeu est fort simple, le joueur doit poser des bombes qui, à leur explosion, touche l’ennemis pour le détruire. Il faut préciser que si l’ennemi touche au joueur ou même si l’explosion de la bombe touche ce dernier, il meurt automatiquement. Il est possible d’obtenir des bombes différentes ainsi que des pouvoirs spéciaux en fonction des objets que le joueur ramasse par terre ou sous les blocs qu’il peut aussi faire exploser pour se faire un chemin. Par exemple, il y a un objet spécial qui fait avancer le joueur plus rapidement, un autre qui lui permet de pousser ses bombes et même un qui lui offre une vie de plus. Il y a aussi des bombes spéciales qui exploses plus fortement, d’autre qui leur permette de rebondir sur les murs ou encore des objets spéciaux maudits avec comme effigie une tête de mort offrant une malédiction au joueur (par exemple, il ne peut plus poser de bombes ou il va avancer moins rapidement).

Commentaires

Le graphique de ce jeu est très intéressant, ce n’est pas sans raison qu’il est devenu un des plus grands classiques de la console Super Nintendo. Les fonds sonores, eux, sont communs mais reste utiles pour participer à l’action du jeu. L’histoire est simple mais efficace dans le cas de Bomberman, car elle pousse le joueur à se dépasser, un niveau après l’autre. Il est agréable de jouer et de rejouer à ce jeu, surtout avec le mode multijoueurs. De plus, la facilité à jouer est irréprochable et porte des gens de tout âge à s’amuser. Je crois donc qu’il est question ici d’un magnifique jeu qui a su se forger un chemin dans le cœur des joueurs.

Néo-Gaming : Introduction

Publié par Alexandre ''Zeviking'' Boisvert le 15 janvier 2012
Publié dans : Autre. 1 commentaire

Bien le bonjour à vous,

Pour débuter, bienvenue sur ce beau et nouveau blog. Comme Maxlam l’a spécifié dans l’introduction, nous allons nous partager l’écriture d’articles sur une rotation de deux semaines. Pour ma part, mes articles viendront avec des titres afin de les différencier des siens. Mes articles du Dimanche auront comme titres «Néo-Gaming» et toucheront principalement l’industrie du Gaming, son évolution, son état présent, ses bons et ses mauvais côtés.

Passons maintenant au sujet principal, le Néo-Gaming est un terme que j’ai personnellement commencé à utiliser il y a plus ou moins un an de cela lors de discussions entre amis concernant l’état présent du Gaming moderne, qui d’après moi, a beaucoup changé au courant de la dernière décennie. J’utilise aussi fréquemment les termes «Gamer» et «Néo-Gamer» pour faire une différence entre les nostalgiques des jours anciens et les nouveaux joueurs. J’utilise ces termes, que je considères important pour différencier les deux âges du Gaming. Soit, des jours où il n’était qu’un passe-temps mal perçu et vu comme un outils servant à réduire les aptitudes sociales d’un individu à un passe-temps ou monsieur et madame tout le monde peut se permettre de jouer sans trop se casser la tête ou s’en faire pour l’opinion des autres. Bien entendu, ce changement fut le résultat d’un tournant important pour l’univers du Gaming et aussi important soit-il, il passa presque inaperçu.

Ce changement pris cours lorsque l’industrie du jeu vidéo trouva finalement des moyens pour toucher un marché beaucoup plus grand et important qu’auparavant, le ci-haut nommé «Néo-Gamer», de nombreux moyens furent utilisés pour aller chercher cet individu important. Par contre, un grand sacrifice dû s’effectuer pour aller chercher le Néo-Gamer, l’industrie n’avait d’autre choix que de perdre son identité. Les jeux vidéo ne pouvaient plus être fait par les joueurs, pour les joueurs, mais bien par des actionnaires, pour des actionnaires.

Lors de mes prochains articles «Néo-Gaming», je vais toucher la plupart des changements qui sont d’après moi important et qui permettent la création et l’entretien du système actuel.

Nouvelle Partie

Publié par Maxlam Lussier le 8 janvier 2012
Publié dans : Autre. 1 commentaire

Bonjour à tous,

Voici le premier message de ce WordPress afin de vous souhaiter à tous, lectrices et lecteurs, la bienvenue. Tout d’abord, voyons ce qui sera abordé à travers les divers articles et critiques à venir. Le sujet principal, bien qu’au sens large, se trouve à être celui des Jeux, et ce, surtout en fonction des auteurs qui sera présenté d’ici quelques lignes. Notre objectif n’est pas simplement que de vous donner notre avis sur certains aspects du divertissement mais bien aussi de vous faire découvrir diverses manières de vous amuser et de partager nos découvertes, voire notre expérience avec vous.

Pour ce qui est des deux fondateurs de ce WordPress, il est question d’Alexandre « Zeviking » Boisvert et de Maxlam Lussier, deux garçons ludiques dans la vingtaine vivant dans la région de Saint-Hyacinthe au Québec. En ce qui concerne nos intérêts et spécialités, il faut déjà préciser que le jeu de cartes « Magic The Gathering » sera abordé d’un commun accord malgré les divergences d’opinions. Zeviking sera en charge particulièrement des jeux de figurines tels que WarHammer et WarMachine, il aura aussi pour spécialité plusieurs Jeux Vidéos sur Ordinateur. Maxlam Lussier, lui, se chargera des jeux de tables, des consoles plus rétros ainsi que des jeux sur Ordinateur un peu moins populaires.

Évidemment, rien ne leur empêche de verser dans tous les sujets, dans tous les domaines et surtout, dans tous vos commentaires. N’hésitez donc pas à donner votre avis et à proposer de nouvelles idées, car ceux qui lisent font (presque) plus que ceux qui écrivent. Notez aussi qu’une Page Facebook a été créée au même nom afin d’aider pour la publicité ainsi qu’à passer le mot.

Les articles seront publiés les Mardi, Jeudi et Dimanche, où les Auteurs partagerons la journée à chaque semaine à compter du Dimanche 15 Janvier 2012.