Bonjour à nouveau chers lecteurs, nous voici donc à la seconde et dernière partie de notre mise en revue du concept des Pokémons. Cette fois, les aspects que nous regarderons seront ceux de la popularité ainsi que de la mise en marché des produits. Il faut bien savoir que malgré la haine de plusieurs pour la popularité qu’à obtenu ces choses durant les dernières années, les créateurs ont réussis à s’en mettre vachement plein les poches.
Déjà, selon Wikipédia en tout cas, plus de 143 millions de jeux Pokémons ont été vendus à travers le monde, et ça, ce n’est pas rien. Les versions Bleu et Rouge se sont vendues à 20 millions d’exemplaires, créant un record de vente dans le monde des jeux vidéo ! Pourquoi donc une telle demande et une appréciation aussi extraordinaire ? Serait-ce par un maléfice quelconque que pourrait aborder les croyants que j’ai mentionnés lors de mon dernier article ? Cela m’étonnerait fortement. Avec une vision large, nous pourrions déjà considérer deux choses fréquentes et fonctionnelles dans ce genre de concept : la polyvalence des personnages/Pokémons ainsi que la compétition. J’entends par là que chacun peut trouver une partie de soi dans les personnages principaux ou dans les Pokémons en fonction de leurs éléments, noms, aspects et ainsi de suite, un peu comme dans des animes comme Naruto, où chaque personne se retrouve dans un personnage en fonction de ses pouvoirs ou de son physique. Ensuite, c’est probablement la compétition qui entre en compte : de surpasser les autres personnages du jeu, de pouvoir prendre ses propres Pokémons pour affronter des amis ainsi que d’avoir la possibilité de créer son équipe sur un large choix de bêtes/choses/wtf.
Bon, c’est bien beau la popularité, mais encore faut-il qu’elle est une durée de vie assez longue, n’est-ce pas ? D’un côté, c’est la que les objets promotionnels embarques, surtouts les cartes à collectionner puis celles à jouer…mais ça, nous y reviendrons. D’abord, c’est la série télévisée qui permettra de faire connaitre les personnages principaux ainsi que de voir en action les Pokémons qui nous étaient si chers en quelques bits noirs et blancs, voire en couleurs. Ensuite, la solution qui a poussé dans l’esprit des créateurs, c’est de créer de nouveaux Pokémons. Bien, d’accord, après les 151 premiers, nous obtenons avec les versions Or et Argent 100 nouveaux Pokémons qui deviennent ceux de la seconde génération. Avec les copains viennent les nouvelles villes, les nouvelles Pokéballs, les nouveaux objets et tout le patatras.
Mais moi, qui va bientôt avoir 24 ans et qui a connu la première envolée conceptuelle à mes 16 ans, pourquoi ais-je autant apprécié cette mode et que les gens autour de moi aussi ont suivis de manière presque religieuse ces Pokémons ? En excluant les raisons que j’ai précédemment citées, je dirais que c’est simplement parce que la mise en marché à fonctionné, rien de plus !
Les Pokémons, c’est un peu comme un parti politique, on nous le présente et ça semble intéressant, puis plus on nous casse les oreilles avec, plus on le trouve réchauffé et sans nouveautés. Les enfants et les adolescents de nos jours n’aiment plus autant Pokémons et c’est probablement parce qu’ils ne découvrent pas le nec plus ultra de la nouveauté, mais bien un concept prémâché que les plus vieux ont piétiné durant plusieurs années. Je ne dis pas, certes, que plus personne ne joue à ces jeux, car les ventes sont encore phénoménales, mais disons que le concept traine de la patte.
En soi, les premières cartes à collectionner n’étaient pas des cartes à jouer, mais bien 151 cartes promotionnelles achetable dans des paquets de 15 cartes (pas exactement des boosters, puisqu’ils ne boostaient rien). Du coup, vous pouviez avec 151 cartes inutiles, mais qui vous permettait de tous les posséder, hourra ! (Sans compter qu’il en avait des brillantes (foils). Peut-être que le fait de faire évoluer ses Pokémons permet au joueur d’acquérir une certaine confiance en soi sur ses capacités à travailler et à s’améliorer, c’est tiré par les cheveux, mais tout est possible ! Bref, ce fut ensuite le tour des cartes à jouer, tirés du concept de Magic the Gathering, permettant aux joueurs de se monter des decks et d’affronter d’autres joueurs. Des peluches, des jouets, des Pokéballs et des milliers d’objets sans importances mais rattachant le cœur d’un enfant à des êtres imaginaires (ah, la nostalgie).
Merci de votre lecture, que je présume attentive, au sujet de ce phénomène hors du commun qui s’éteindra probablement au courant des dix prochaines années. Pour plus d’information, je vous référerais à cet excellent site internet :