Notez que j’utiliserai le genre masculin dans mes propos qui vous interpelles simplement par nécessité et par clarté et que ceci n’est pas, en aucune façon, une façon de diminuer l’importance, ni une façon de me montrer misogyne envers nos (potentielles) lectrices.
Bonjour chers lecteurs,
Je me présente; je m’appelle Philippe Daigneault et je me suis fait demander de participer au blog de Maxlam et d’Alexandre. J’ai 24 ans et je fais ma maîtrise en littérature anglaise à l’Université Laval. Je vous avertis d’avance (et je m’en m’excuse) pour la qualité de mon français, car je n’ai, en toute honnêteté, pas vraiment eu l’occasion d’écrire en français dans les 5 dernières années à cause de mes études qui sont poursuivies exclusivement en anglais. Je vais toutefois faire les efforts nécessaires pour écrire de façon cohérente et explicite, voire laisser Maxlam corriger le tout. Ma participation à ce blog risque d’être erratique puisque je ne suis qu’un chroniqueur invité… mais je vais tout de même tenter d’être relativement linéaire dans mon approche pour que la progression de mes articles soit facile à suivre, malgré la distance (en termes de temps) dans laquelle lesdits articles vont être publiés.
Puisque que Maxlam et Alexandre couvrent déjà différents sujets et que, comme mentionné plus haut, mes articles risquent d’être distancés, je vais me concentrer sur un sujet en particulier, le «wargaming ». Le « wargaming » est un hobby qui m’intéresse particulièrement et qui semble être très peu connu (ni compris d’ailleurs) par la population en générale. Ce hobby consiste à recréer, dans un environnement fictif, une guerre ou un affrontement entre deux factions dans un territoire délimité. Pour les néophytes, pensez aux Échec ou à Risk mais avec des règles beaucoup plus poussées et complexes (sans pour autant nécessiter plus de talent ou de pratique en soi). Le principe fondamental de tels jeux est de vaincre notre adversaire en utilisant différents concepts militaires comme la tactique, la stratégie, la gestion de ressources et plusieurs autres. Ce type de jeu, ou du moins des jeux similaires, se retrouve sur d’autres medias électroniques ou informatiques et même s’ils permettent en bonne partie le même défi intellectuel, le coté socialisateur des jeux de tables l’emporte amplement sur ceux de ces nouveaux médias. En effet, même si l’utilisateur peut écrire et même parler (à l’aide d’un microphone et d’un programme comme ventrilo, teamspeak ou skype) à ses coéquipiers ou à ses adversaires, rien ne vaut vraiment le plaisir de parler et de « déconner » en bonne compagnie. Ma chronique va donc parler des concepts théoriques et pratiques qui entourent ce hobby de jeux de tables et de figurines. Dans mes exemples concrets, je vais principalement utiliser les deux systèmes avec lesquels je suis le plus familier, soit Warhammer 40k de la compagnie Games Workshop (GW) et le système « double » de Warmachines/Hordes de la compagnie Privateer Press (PP). Les jeux de tables et de figurines sont énormément variés et il en existe beaucoup plus que les 3 mentionnés ci-haut, mais je vais me concentrer sur ceux-ci, car ce sont les systèmes que je connais le mieux et ce sont les 3 systèmes qui sont les plus « gros » en termes de popularité et de vente en Amérique du Nord.
Mon prochain article va se concentrer sur comment se lancer dans ce merveilleux, quoi que couteux/dispendieux, hobby et les différentes variantes qui vont influencer le choix de factions lors d’un tel départ.
Je vous laisse donc sur cette note et surtout, n’hésitez pas à me laisser des commentaires par rapport à ce que j’apporte dans mes articles, ça va me faire plaisir de vous répondre.
Au plaisir de voir vos commentaires !