Le jeu
Il est aujourd’hui question du premier Joe & Mac, nommé aussi « Caveman Ninja ». Ce jeu a vu le jour en 1991 sur la borne arcade et a ensuite été intégré à plusieurs autres consoles : Super Nintendo, Genesis, GameBoy, Amiga et Dos. Il a été créé, puis vendu en Amérique et au Japon par Data East tandis qu’Eliste System a eu ce travail du coté de l’Europe. Je parlerai évidemment ici de la version établie sur la console Super Nintendo. Un second jeu a été créé quelques années plus tard sous le nom de « Joe & Mac 2 : Lost in the Tropics », avant de propager à nouveau le nom de commerce et de créer de multiples autres suites.
Résumé
Comme une bonne partie des jeux sur la Super Nintendo, l’histoire est assez simple : deux ninjas des cavernes doivent sauver de jeunes dames des griffes infâmes de dinosaures sanguinaires. Le premier homme (joueur) a les cheveux verts et se nomme Joe, le second homme (joueur) aux cheveux bleus porte le nom de Mac, ils sont donc les deux personnages principaux de cette quête épique qui débute dans leur village. Ils ont la possibilité d’utiliser les quatre armes qu’ils trouvent sur leur chemin, c’est-à-dire : Des os, des boomerangs, du feu et des roues…des découvertes préhistoriques pour être plus précis.
Il est possible de jouer seul avec un personnage, en multi-joueurs coopératifs de manière à ne pas pouvoir se blesser et en multi-joueurs semi-coopératifs où les deux collègues doivent faire attention où ils frappent. Le système de vie, lui, est très simple et se divise en petits cœurs pour les joueurs et en barre grise pour les Boss. Les autres ennemis n’ont pas de symboles pour désigner combien d’énergie ils possèdent, mais en général c’est toujours très peu. Les joueurs peuvent aussi trouver sur leur chemin des morceaux de viandes comme nourriture et par conséquent, leur permette de recharger leurs points de vies. Quelques œufs spéciaux sont aussi à leur disposition cachant de la viande, des armes ou encore des niveaux secrets pour trouver quelques clés utilisées par la suite dans la carte-monde pour ouvrir des niveaux cachés ou des points de sauvegardes. Lorsqu’un joueur perd ses points de vies ou tomber dans un trou, il devient temporairement un fantôme et doit se dépêcher de retourner sur la terre ferme en sécurité avant de reprendre forme humaine.
Commentaires
Les graphismes de ce jeu sont assez intéressants à regarder et aussi plutôt avancés par rapport aux autres jeux de cette épôque, du coup, il est aussi très facile de différencier les différents objets et animations. La musique relate de l’époque et bien qu’elle soit quelque peu enfantine, l’écouter en boucle ne lasse pas réellement le joueur. Comme je l’ai déjà mentionné, l’histoire est simple et expliquée dès le début du jeu, mais elle change vers la fin pour une conspiration en quelque sorte…démoniaque. Il est agréable de jouer à ce jeu durant quelques heures, seul ou entre amis, mais une fois le tout terminé, l’envie passe rapidement de recommencer. Un bouton pour sauter et un autre pour frapper, voilà donc tout ce qui est nécessaire de savoir pour réussir, un enfant peut donc facilement y jouer.
Prenez-note que la semaine prochaine, j’afficherai un concours sur les vieux jeux-vidéos.