Dès la lecture du titre, certains ont fait : « je sais de quoi il va parler ». Pour les autres, deux mots : Rogue Legacy. (L’image ci-dessous aide aussi)
Encore!
Soyez rassuré, je vous casserai les oreilles aujourd’hui avec ce jeu pour une dernière fois. Après cet article, promis-juré.
J’ai acheté le jeu la journée suivant la mise en ligne de mon dernier article, ce qui remonte maintenant à environ deux semaines. J’ai donc pu l’essayer à fond pour me familiariser avec lui pour être en mesure d’en parler (un peu) aujourd’hui.
Mon temps de jeu par rapport à mon avancement me semble rachitique. Pour avoir parlé avec Zeviking, celui-ci a fait beaucoup mieux et a déjà tout remballé. Je m’approche de son temps de jeu et j’ai dépassé depuis peu la demie-vie (mode +, 3e boss) ou presque, car on progresse plus rapidement arrivé un certain stade.
Cependant, il faut prendre en considération que ma carte graphique n’est pas assez performante, ce qui ralentit ma vitesse de jeu de l’ordre de ¾ vitesse environ. Oui, les adversaires sont plus faciles, mais ma vitesse d’exécution est constamment réduite.
Anyways, je suis pas super bon.
Le principe du jeu est très simple et je le rappelle pour les « non-sachants » : tu choisis un enfant de ta lignée avec sa classe et ses points distinctifs et tu fonces tête baissée dans le château pour mourir. Suite à la mort du héros choisi, trois de ses enfants s’offrent pour continuer la Legacy. Chacun des héritiers choisis reçoit l’équipement de son aïeul ainsi que tout l’argent amassé.
Le topo est assez simple. L’argent doit être réinvesti en aptitudes ou équipements avant d’entrer dans le château, car pour entrée, on doit se départir de nos avoirs à Charron, le gars qui bloque la porte.
Le jeu est cocasse et il ne se prend pas au sérieux. La map est toujours reconstruite au hasard et le but c’est de trouver des trésors. Les points distinctifs des personnages sont très diversifiés, allant de calvitie à marcher à l’envers (!!!). Certains dérangent plus que d’autres et peuvent grandement influencer votre choix. Par exemple, mon ordi avait beaucoup de mal à supporter un personnage presbyte ou myope (du flou, du flou partout!).
En gros, le jeu est pretty simple. Certaines façons pour le « passer plus vite » doivent être disponibles en ligne. Pour ma part, je ne suis pas friand de rapidité. J’aime consumer mon jeu.
Cellar Door Games fait d’ailleurs un léger récapitulatif de ses jeux au travers des salles du château. Dans certaines des salles avec un point d’interrogation, on peut y trouver une image et du texte qui explique d’anciens jeux ou d’anciennes idées à découvrir. Deux m’ont particulièrement attiré et je vais en parler brièvement. Je vais sûrement les essayer dans un avenir rapproché
Don’t shit your pants : Dans une text-box avec limite de caractères, on doit écrire des trucs pour faire avancer le jeu, mais surtout, pour éviter que le gars se chie dessus. Que dire de plus. Du bonbon!
I have 1 Day : Jeu rempli de plusieurs types de puzzles où le temps pour faire le tour est une journée, temps réel. Passé ce délai, je n’ai aucune idée de ce qui se produit, mais je crois bien que la sauvegarde tombe désuète.
On se revoit dans 2 semaines pour des commentaires sur les nouveaux spoilers de Theros!