Bonjour chers lecteurs ! Je souhaite tout d’abord saluer mon grand ami Nelson Mandela, lequel nous a démontré qu’il est possible de faire changer les mœurs humaines ainsi que de confronter le despotisme. Même si la majorité des copinours de ma génération ignore son combat grandiose, je tiens à souligner son décès.
Venons-en maintenant à notre sujet du jour, c’est-à-dire le méli-mélo de ma semaine dernière. Déjà, je suis maintenant l’heureux possesseur d’une clé du jeu béta HeartStone, que de joie dans mon cœur ! Bien que mon collègue ZeViking en a parlé il y a quelques mois, je tiens à donner un rapide avis sur la chose : de la merde. Non, j’exagère un brin, comme d’habitude. En fait, le système de combat des cartes est assez intéressant : les dégâts se cumulent, le héros peut équiper une arme, il peut utiliser une habileté à chaque tour et les « cristaux de mana » augmentent d’un tour à l’autre jusqu’à dix. De jolies idées pour un jeu de cartes de World of Warcraft respectant certains monstres et personnages importants de la série. Pour ceux qui sont adeptes des jeux de cartes Magic, Pokémon et Yu-Gi-Oh, rien ne vous surprendra…l’Arène, ce genre de « draft » coutant
150 pièces d’or, permet toutefois d’approcher les combats d’une manière plus aléatoire.
Terminons avec le célèbre Diablo II, non pas seulement parce que le troisième opus de la série est un véritable échec à mes yeux, mais bien parce qu’il possède encore une certaine notoriété et un potentiel de jeu intéressant : le mode Hardcore. Ce mode, attribuant une seule vie à votre personnage (s’il meurt, c’est fini) permet de renouveler l’esprit du jeu et de faire aussi bien attention à ses actions stratégiques que de rechercher des amis pour jouer. C’est la manière idéale de transformer un jeu poussiéreux en une nouvelle quête personnelle. Avec la malédiction Iron Maiden qui a été retirée du jeu, l’acte 4 n’est plus un « enfer » mais bien un joli domaine rempli de fleurs démoniaques et maléfiques.