Bonjour chers lecteurs ! Comme mon titre l’indique, je souhaiterais à nouveau vous partager mon expérience dans le monde fantastique du jeu Dofus. Maintenant que je possède deux mois d’expérience ainsi que trois semaines en tant qu’abonné, je vois un peu plus clair dans le monde des douze et souhaite vous offrir ma nouvelle passion. Bon, entendons-nous que le public cible et la moyenne d’âge tourne autour de 12-16 ans, n’empêche qu’il y a beaucoup d’exceptions et que les gens plus âgés peuvent mieux profiter de certains aspects des jeux de mots ainsi que de démontrer que leur expérience en matière de jeux vidéos leur permettent de surpasser les jeux blancs-becs.
Mon article d’aujourd’hui portera plus précisément sur les classes, car ce sont elles qui permettent de découvrir le jeu différemment, que ce soit en combats contre des joueurs et contre des monstres, ou encore en découvrant de nouveaux sorts ou de nouveaux temples. Je les ai presque toutes expérimentées jusqu’au niveau 30-40 afin de savoir lesquelles me représentaient le mieux, je vais donc faire un survol rapide de ces 15 « races ». Il s’agit plus de races que de classes, car le concept démarre avec les 12 dieux (3 races ont donc été ajoutées par la suite).
Voici ma classe favorite, il s’agit de l’Osamodas (ou pour les intimes, SadoMaso). C’est une classe d’invocateur qui inflige surtout des dégâts de feu ou de terre. Sa spécialité, comme vous devez vous en douter, est d’invoquer le plus de créatures possibles et de les améliorer durant le combats. Bien que ses sorts d’amélioration puissent aussi affecter les alliés, ils le font durant beaucoup moins longtemps. Malgré que ce ne soit pas la meilleure classe en duel, elle permet d’inonder l’adversaire de créatures ! Coups de fouet et griffes sont au rendez-vous.
Nous avons dans l’ordre l’Ecaflip (Pile Face) qui invoque des chatons, qui tire des cartes et qui joue au hasard l’élément de ses dégâts. Cette classe est probablement la plus jouée et la moins balancée du jeu, non seulement parce que le chaton inflige d’énormes dégâts et soigne mais aussi parce qu’elle possède des sorts surpuissants. En deuxième, il y a le Sacrieur, un vrai moine qui se bat au corps à corps, qui mange des coups pour devenir plus fort et qui attire l’ennemi afin d’améliorer sa portée. Il gagne les caractéristiques qu’il souhaite pour chaque dégât lui étant infligé, c’est d’ailleurs la seule classe qui gagne 2 points de vie par point placé en vitalité. En troisième, c’est le Sram (Mars, parce que ça tabasse), digne représentant des ombres. Il devient invisible, il peut créer un double qui attire l’attention, il pose beaucoup de mines et repousse les ennemis. C’est un personnage de choix pour ceux qui débutent ou qui souhaite explorer plutôt angles de combats différents. Finalement, nous avons le Iop que je connais très peu…semblerait-il que ce soit un gros idiot assez fort au corps-à-corps qui représente un peu un paladin sans cervelle.
Oh, c’est la classe Roublard, ils ont la classe comme ça, pas vrai ? C’est pas mal tout en fait…ils ressemblent énormément aux Sram : ils posent des bombes et les pousses, ils font des clones d’eux pour se protéger durant un tour, etc. J’ai peu expérimenté cette classe, elle est assez intéressante mais il lui manque un petit quelque chose.
Voici les Enutrof (Fortune, bah ouaip), avare combattant prêt à lancer leur argent pour se défendre et à invoquer des pelles pour combattre avec eux. Je n’ai jamais compris l’objectif premier de cette classe, elle semble assez puissante mais très peu jouée. Dans les petits pots les meilleurs onguents ?
Cesse de bavardage, accélérons le pas : il y a le Crâ (C’est-à-dire Arc, très original toutefois) qui inflige des dégâts à distance et en lignes droites, c’est une classe assez polyvalente et idéale pour ceux qui débute dans le jeu. L’Eniripsa (C’est Aspirine, car elle donne mal à la tête…) qui soigne, améliore la défense et représente parfaitement une classe de prêtre sans trop de corps-à-corps. Le Féca (Café ?) s’approche légèrement du Iop, car elle représente une bonne classe de combat. Sa défense est assez intense et se dirige vers tous les éléments possibles. Avec le Pandawa, c’est la totale ! C’est une classe assez balaise qui représente les DrunkingFighter (combattants ivres); elle tape fort, elle tape loin et elle tape sans arrêt. Le Sadida est mitigé (il court en Adidas), car il invoque des poupées avec diverses habiletés…en gros, c’est un druide peu puissant au corps-à-corps mais qui peut affaiblir légèrement ses adversaires. Le superbe Xelor (Rolex au poignet, le sens y est) contrôle le temps : il augmente et diminue les points de mouvements et d’action des alliés et adversaires. Bas niveau, il est complètement pourri alors qu’en très haut niveau, il est surpuissant !
On reprend son souffle et hop, le Steamer (Ah non, pas une classe technomagie avec un nom en anglais !?) pour faire s’évaporer l’eau. En fait, il construit des machines et les améliores durant le combat. Malheureusement, les machines tirent où elles en ont envies, du coup il doit quand même faire attention de garder ses distances. Je ne l’ai pas beaucoup essayé, mais disons qu’il est douteux à souhait.
C’est quoi ce mime ? C’est un Zobal ! Il a une sacrée gueule et sa jouabilité est merveilleuse; vous pouvez changer de masque pour activer certains sorts et les interchanger afin d’obtenir certains styles de jeu en plein milieu de combats. Bien qu’il ne soit pas beaucoup joué, je crois qu’il est destiné aux experts.
Et voilà qui fait un tour rapide des classes du jeu. J’espère que cela permet à certain d’avoir envie d’essayer le jeu en utilisant des classes qui ravivent leur désir de surpasser les autres joueurs et de combattre les forces du mal. Si ce n’est pas le cas, tant pis pour vous !