Avec la sortie du Core Set d’été vient généralement un petit upside que j’aime bien et c’est : Duel of the Planeswalkers. J’ai déjà parlé des deux précédentes itérations de cette série sur ce blogue même et je ne verrai pas pourquoi je me retiendrais cette fois encore. Duel me fait beaucoup penser à des kitchen table games et j’adore ça. Pour un petit montant (10$ sur la plupart des plateformes), on a la possibilité de jouer avec beaucoup de decks différents et avec des cartes que nous ne possédons pas nécessairement. Des cartes qui ne seraient pas assez fortes normalement, mais qui avec la balance du jeu, sont très bonnes et jouables. C’est comme une petite coche de plus qu’un limited deck en commençant le jeu, avec une progression qui nous amène à avoir de quand même solide deck.
Le duel de cette année promet visuellement plus que tous les autres. Je vous laisse le soin de faire vous-même votre opinion :
Pour le 2013, nous avions la possibilité de jouer en Planechase. Pour le 2014, c’était la capacité à faire des sealed deck et de toucher un peu plus au deck building en choisissant nous-mêmes nos couleurs. Pour cette année attachée vous bien : 2015 amène la possibilité de construire ses decks entièrement! Vous m’avez bien entendu bande de coquins.
Quand on commence le jeu (après avoir désactivé les tips, l’autolock pis toutes les affaires qui ne te permettent pas d’être aux commandes à 100%) tu te choisis un avatar, c’est-à-dire, une image d’un humanoïde qui te ressemble un brin (un leonin pour toi, barbu de mes deux). Par la suite, on choisit la couleur qui nous plaît le plus, un peu comme Shandalar nous l’offrait il y a quinze ans. S’ensuit le choix de la couleur d’appoint à la première, ce qui se résume par choisir une guilde de Ravnica. On skip le tutorial parce que de péter une rafale de Ouézeaux volants toujours pareils, ce n’est pas dans notre plan de carrière. Pis là le fun commence, la fameuse campagne
…
Je dois faire halte à cet article pour cause de non-connaissance. Je sais que je me donnais l’air du gars qui a genre fait le tour du jeu les mains dans le dos quand en fait, j’ai juste écouter ce vidéo là où la madame qui a l’air full gentille fait juste pas être capable de suivre le flow de la game qu’elle semble annoncée en miscliquant plus que son facteur chance ne le permettrait et en jouant comme une novice de première classe. Gentille certes, stressée beaucoup. Mais là n’est définitivement pas la question chers lecteurs…
Le fait est que, n’ayant pas de Ipad, je ne peux profiter du jeu que depuis hier, comme en fait mention la release date officielle. Si j’ai commencé l’article comme un menteur éhonté, c’est bien entendu pour mieux me reprendre dans deux semaines. L’information de base par rapport au prix choc de 10$ et à la sortie du 16 juillet 2014 a été passée avec succès et je ne peux que m’en féliciter. Je vous laisse donc sur ce commentaire dudit vidéo de la dame mélangée où un inconnu nommé AthenaWhisper résume bien ce que je pense de ce jeu en toute ignorance de cause :
Finally they added Custom Decks, I will definitely be buying this when it comes out. Also I really like the way they changed the way you start out, by picking a Colour and then a Deck to match that colour, it’s very nice.
Syntaxiquement un brin en dehors des normes scolaires je vous l’accorde, mais ciblant bien le point crucial de l’achat futur : l’entière customisation. Un petit nuage se pointe cependant à l’horizon. Cette modification totale a ses limites : la pool disponible excède à peine les 300 cartes. Donc, avec les mécaniques propres à chaque deck de base (10 paires de couleurs) une question ressort : jusqu’où pourrons-nous vraiment aller dans la pure originalité de création avec autant de canevas prédéfinis? Des DLC sont heureusement à prévoir, avec un ajout supplémentaire, bien entendu.
Sur ce, achetez ce jeu et allez en paix.