Dans mon dernier article je révisais Arkham Asylum, celui-ci sera à propos de Arkham City. Je n’ai pas osé comparer quoi que ce soit dans le dernier article dû au fait qu’il est le premier de la série. Cependant cette semaine je pourrai comparer avec le premier titre et montrer les bienfaits ou le négatif du deuxième.
Arkham City, sorti en 2011 avec 9.5 pour IGN, 91 avec Metacritic et 9 pour Gamespot qui sont encore une fois d’excellentes notes. L’histoire commence et Bruce Wayne (et non Batman) à l’ouverture d’Arkham City lorsque les choses tournent mal. Rapidement Wayne appel Alfred et fait descendre son suit sur un toit à proximité. C’est comme ça que le jeu approche son tutorial de déplacement. En faisant grimper Bruce sur le toit d’un bâtiment. Une fois le suit mit, l’histoire commence.
Le pingouin joue un rôle important au début de l’histoire mais rapidement c’est le Joker qui prend le dessus en cherchant une cure pour le poison qui l’habite (qu’il choppe dans le premier jeu). Une particularité dans Arkham City c’est que oui le Joker joue un rôle majeur, mais les vilains s’échangent la priorité contrairement au premier où le focus était le seul et l’unique Joker.
J’avais décris Arkham Asylum comme étant un jeu de plateforme où on passe d’un niveau à un autre et qu’on se rend du point A au point B tout en faisant les challenges du tableau. Celui-ci est un peu différent du au fait que l’ont se trouve dans une ville plutôt qu’un asile La carte est donc beaucoup plus grosse. Pour remplir la carte, les devs ont mis quelques sidequests. Mais il est possible d’en faire aucune pour passer le jeu.
Là où il y avait lacune dans le premier volet; les combats. Ils ont repris le même frame mais ils ont ajoutés des adversaires particuliers qui doivent être battus d’une façon spécifique. Par exemple si un des hommes est en armure, il faut absolument l’étourdir pour pouvoir lui offrir une rafale de coup. Ça semble anodin sur papier mais quand on a une dizaine d’homme à battre et que deux d’entre-eux sont immunisé au coup jusqu’à ce que le joueur fasse sa rotation de coup. Ça commence à être plus tannant à gérer.
Les bossfights étaient excellents dans le premier et ils le sont tout autant pour celui-ci et ils sont encore une fois d’une longueur acceptable. Des vilains sont récurent mais d’autres s’ajoutent et c’est parfait ainsi.
La noirceur est toujours notre ami dans Arkham City, les scènes et missions sneaky sont toujours présentent et elles sont encore une fois bien réalisés.
Les gadgets sont encore une partie importante du jeu et c’est aussi ceux-ci qui vous aide a débloquer une partie de la carte où il était impossible d’aller avant. Il y en a plus dans le deuxième volet mais pas trop. Juste assez. Certains sont même très utile en combat.
Les quêtes secondaires mentionnés plus haut font partis du jeu mais je crois personnellement qu’elles auraient très bien pu être oubliées. Certaines sont vraiment plaisantes une ou deux fois, mais il y en a trop qui sont vraiment mal développées.
Je n’ai pas pu faire une partie du jeu qui est celle de Catwoman dû au fait que je me suis procuré le jeu usagé sur la PS3. Mais de ce que j’ai vu c’est une histoire en parallèle qui se passe de son côté. Elle a elle aussi des gadgets et une façon de se battre.
Le jeu garde son système d’expérience et d’upgrades pour l’armure de Batman et ses gadgets. Ils poussent plus loin avec ceux-ci sans que ce soit révolutionnaire ou hors du commun.
Encore une fois le jeu n’est pas d’une longueur interminable et d’une rejouabilité du tonnerre, mais il est néanmoins un jeu excellent et divertissant pour tous.