Bien évidemment, j’ai acheté Fallout 4 la semaine dernière. J’avais 35$ qui traînait sur mon compte Steam suite à des ventes de crates lors du Invasion Month sur Team-Fortress 2, le prix de 80$ ne m’affecta pas vraiment, même si je crois sans conteste que le jeu vaut son plein prix, même si je ne l’ai pas payé lein prix(lol).
Donc ouais, comme je n’avais joué que très peu à Fallout 3 et New Vegas, non pas parce que je ne les avais pas achetés mais bien plus parce que je n’aimais pas le setting, acheter Fallout 4 était un espèce de gamble. Les chances que je n’aime pas celui-là étaient bien présentes vu ma réaction face aux deux derniers. Ce ne fut étonnamment pas le cas, mais bien au contraire, j’adore le jeu. Contrairement à ses deux prédécesseurs, celui-ci ne vient pas avec un environnement 100$ désertique empli de vide et garni d’une teinte coloré verte ou orange pour rajouter un peu de glauque au tout. Fallout 4 est coloré, l’environnement est bien empli par la végétation et l’environnement semble être vivable 200 ans après que les bombes soient tombées. L’un des objectifs du jeu est justement de construire des camps et de petites villes de colons et fermiers pour créer un semblant d’ordre dans la région.
Je dois par contre encore m’ajuster au style sandbox du jeu qui est très très ouvert et qui me donne des OCD me disant que je dois tout fouiller, tout explorer et allez partout pour être certain de ne rien manquer du jeu et de l’infini s’offrant à moi. Cela me permet de trouver toute sorte d’armes, armures et pièces de toute sorte pour ensuite retourner dans ma ville et améliorer mon équipement et mes bâtiments.
Jusqu’à présent, j’ai près de 20 heures de jeu et j’arrive tout juste à la capitale de la région pour continuer la quête principale. Je ne sais pas pour combien de temps encore le jeu va garder mon attention mais je présume qu’un peu comme Skyrim, je vais facilement monter et toucher les 100 heures. Sur ce, j’aime bien écrire, mais jouer c’est beaucoup mieux!