Au début de la semaine dernière en lisant ma vague de nouvelles quotidiennes je suis tombé sur un article concernant la dernière mise-à-jour de CS:GO. Cet article présentait brièvement les nouveautés, soit quelques cartes, des missions coopératives, des missions solos et bien évidemment une nouvelle boîte emplie de cosmétique pouvant être ouverte en se procurant une clé au coût de 2,49$.
Comme je n’avais pas joué à Counter-Strike depuis un bon moment déjà, je me suis dit qu’allez y faire un tour ne me ferait pas de mal. Pour vous faire une petite idée de mon passé, Counter-Strike 1,5 était mon premier jeu de tir sur PC. Au fil des années je dois avoir accumulé plus de 2000 heures de jeu sur toutes les versions de Counter-Strike confondue. J’ai joué énormément à Counter-Strike, participer à plusieurs LAN et y a joué de façon compétitive lors de mes années du secondaire. J’ai donc un passé assez exhaustif avec la franchise.
J’ai été capable d’y jouer 9,1 heures d’après Steam. Et sincèrement, je me suis forcé pour les deux dernières heures car je n’avais aucun plaisir a jouer à ce jeu. La dernière fois que j’avais joué à CS:GO était en 2012 lors de sa sortie. Entre 2012 et aujourd’hui j’ai eu la chance de jouer à beaucoup de jeux de tirs différents et de toutes sortes. J’ai joué à des jeux coop, des jeux compétitifs, des jeux solos, des jeux à la troisième personne, à la première personne et j’en passe. Même si tout ces jeux étaient très différents, ils étaient tous reliés par un point commun, l’iron sight.
Le mode Iron Sight est aujourd’hui une constante se retrouvant dans la majorité des jeux de tirs populaires, sauf dans Counter-Strike. Et c’est exactement l’élément de jeu qui m’a fait détester les 9 heures investis dans ce jeu cette semaine. Plus je jouais et plus j’avais l’impression que le jeu semblait arriéré contrairement à tout ce que j’ai eu l’occasion d’essayer lors des dernières années. Le design des cartes, le maniement des armes, le manque d’Iron Sight, le recoil pattern et les parties compétitives beaucoup trop longues furent tous des facteurs me faisant détester Counter-Strike alors que c’est une série dans laquelle j’ai investi beaucoup de temps auparavant.
Suite à mon expérience j’ai maintenant du mal à comprendre comment ce jeu a fait pour exploser en popularité lors des dernières années et pourquoi le jeu a aujourd’hui autant de joueurs partout à travers le monde. Heureusement pour moi, j’ai gagné assez de caisses et skins pour faire plus d’argent que ce que la passe de campagne m’avait coûté initialement. J’ai donc réussi à faire un profit de ces 9 heures et je sais maintenant que le jeu n’en vaut pas la peine.