Bonjour chers lecteurs ! Voici maintenant mon second article au sujet du magnifique « Tree of Savior » de Nexon. Ce jeu sera entièrement gratuit à partir du 30 avril 2016, est en anglais, est disponible via Steam et permet de rejoindre un délicieux univers MMORPG descendant directement de Ragnarök Online de Gravity. Maintenant que j’ai abordé les sujets majeurs qu’étaient les graphismes et les classes, je peux bifurquer légèrement vers d’autres éléments. Notez que l’option d’échange (Trade) s’était ajoutée pour les « membres » et qu’ils viennent tout juste de l’offrir aux non-membres aillant plus de 72 heures (3 jours) de jeu, une excellente nouvelle pour l’interaction entre joueurs. De plus, la date officielle de sortie a été repoussée au 10 mai 2016…donc, vivement de vous y voir !
Histoire
Inspirée des mythologies lithuaniennes et baltiques, l’histoire nous plonges dans un univers où les déesses protectrices des humains disparaissent, laissant place à un grand arbre mystérieux. La déesse du destin vous offre des visions mystiques afin de vous mettre sur la voie des déesses disparues, tout en vous faisant combattre de soudaines hordes de créatures malfaisantes. Tel qu’indiqué dans mon précédent article, l’ensemble des péripéties fait de vous un aventurier élu de la déesse du destin dont le courage permettra de sauver les autres déesses protectrices. Un fond aussi simple que pour les autres jeux à la mode, restant tourné vers l’aspect divinatoire et spirituel.
Jouabilité et combats
Vous pouvez jouer avec un clavier, avec une souris ou même avec une manette; toutes les commandes sont personnalisables et s’adaptent à vos habitudes de jeux. Nous retrouvons les options normales de grandeurs d’écrans, de volumes, de présence des sons, etc. Les déplacements se font rapidement et les combats en temps réel (heureusement…). Tous les raccourcis sont, par défaut, placés sur les touches de 1 à 0 au niveau du clavier. Ce qui diffère de la plupart des autres jeux de ce type, c’est que les attaques normales ont une portée de zone (AoE) attaquant plusieurs monstres à la fois à l’aide d’un même coup, alors que normalement il est nécessaire d’utiliser un sort ou une capacité permettant un tel avantage (ou inconvénient lors d’attaque indésirée). Il est, par conséquent, également important de prendre en considérant l’angle dans lequel attaque votre personnage et d’où les adversaires arrivent, car la fluidité des attaquent permet une meilleure élaboration des coups portées. Les combats sont assez bien balancés selon vos points de vies et les niveaux, permettant de vaincre des adversaires légèrement plus forts à condition d’avoir, non pas nécessairement les équipements nécessaires, mais les stratégies adéquates selon le type de créature (exemple : les créatures volantes ne subissent pas de dégâts via les pièges posés au sol). Les « Boss » sont divisés en deux types : ceux retrouvables en donjon (instances) ou ceux rencontrés lors de quêtes (1 fois uniquement). Ils sont bien plus puissants que les créatures normales et vous offre, presque à chaque coup, leur carte respective. Ils invoquent des créatures, utilisent des habiletés uniques et prennent souvent bien plus de place dans votre décor…ce sont des vrais boss, quoi ! Lorsque vous les affrontez en quête, vous tombez avec votre équipe dans une « instance » sur place où vous êtes seuls contre lui dans le décor actuel, légèrement limité au niveau des sorties et vous disparaissez de la vue des joueurs externes.
Carte-monde et téléportation
La mini-carte active indique où se trouve votre personnages, les quêtes actives et les zones spéciales (téléportation, statues, etc.). Il est possible de zoomer dessus et de connaitre le pourcentage de découverte de la carte en cours, car chacune apparait avec des zones ombragées à découvrir afin d’obtenir 100% de visibilité. La carte-monde est très grande et laisse place à beaucoup d’espoir en matière de possibilités au niveau des donjons; tenter de ne pas définir un chemin continu sans possibilité de s’en évader.
La téléportation s’effectue en trois parties; les objets permettant de vous téléporter à une ville ou un endroit de sauvegarde, les statues de la déesse Vakarine permettant d’enregistrer une position ainsi que de se téléporter à peu de frais à une autre statue et finalement les quêtes dont l’objectif atteint active souvent un cercle permettant de vous téléporter au NPC vous aillant confié cette quête. La marche est évidemment très intéressante pour la découverte des décors, des nombreuses quêtes cachées ainsi que des statues à déverrouiller au moins une fois. Il est évident que ce compromis saura satisfaire aussi bien les grands aventuriers que les paresseux des dernières générations tournées vers une facilité extravaguante.
Allez, cela suffit pour aujourd’hui ! Encore d’autres catégories et détails viendront dans un prochain article. Jusqu’à maintenant, près de trois semaines de jeux m’ont offert une expérimentation très minime de l’univers de Tree of Savior, car j’explore bien évidemment les quêtes principales et les chemins qui s’ouvrent devant moi. Les petits amusements et avantages parallèles viendront bien assez vite…commençons par obtenir au moins deux personnages complémentaires et intéressants !