Ouf! Grosse fin de semaine que j’ai eu du 6 au 8 mai 2016. Ce que j’ai prévu et ce que j’ai fait a pris des chemins totalement différents sans être pour autant désagréable.
Vendredi soir
Le Salon de la passion médiéval et reconstitution historique commençait à 5h, mais dû au trafic de Montréal, nous sommes arrivés une heure plus tard. Il faut préciser que les seules conventions que je suis allé était l’Otakuthon et AnimaraCon et que les files des dernières années étaient horriblement longues à l’Otakuthon. Dans ce cas-ci, nous avons attendu à peine 15 minutes pour entrer. Le coût pour trois jours était de 25 $ et pour une journée 13 $, ce qui est dans de bons prix pour une convention de Magasinage. Il y avait le site extérieur gratuit où les activités avaient lieu avec quelques kiosques. Nous nous dépêchions de prendre ce qu’on avait besoin pour Bélénos. Certains artisans offraient un très bon service malgré l’achalandage dans à peine un mètre carré de leur magasin. Le problème était beaucoup les clients qui prenaient de la place dans les allés sans rien acheter ou bouchait les entrés en parlant avec leurs amis comme d’habitude. Il y avait aussi un petit lieu de danses et de spectacles qui donnaient une ambiance festive malgré le peu de participation des spectateurs. Quoi ? Le salon ne sert pas seulement à magasiner ?
Samedi en journée
Nous nous sommes levés de bonheur pour pouvoir magasiner plus tranquillement et nous sommes arrivés à l’heure d’ouverture. Un peu de confusion pour savoir quelle entrée prendre puisqu’on avait déjà payé la veille.
Le sac était devenu lourd très vite. Nous avons fait cette fois une liste de ce qu’il restait à acheter. Je ne me doutais pas qu’un GN pouvait autant coûter cher. Certains accessoires, avec plus de temps, n’était pas nécessaire, mais puisque Bélénos était deux semaines plus tard, je ne pouvais pas me permettre qu’il me manque quelque chose de décorum. Une chance, je fais quelque chose qui n’exige pas une grande préparation.
Au dîner, seulement deux kiosques offraient de la nourriture. Les deux ayant le même menu, mais puisqu’à l’intérieur c’est interdit de faire de la friture, nous nous contentâmes d’un menu plus léger. Un peu déçu qu’il y avait seulement des menus de mal-bouffe avec sans vraiment de contenu en rapport avec la convention.
Nous avons assisté à des combats à l’épée. Oui! Des vrais épées. Les concurrents avaient de véritables armures et procédaient de la manière à respecter les autres pour éviter de les blesser gravement. Plusieurs styles de combats et hommage à certaines traditions médiévales dont la fameuse fleur donner à leur héro.
Nous voulions nous pratiquer à nous battre avec nos nouvelles armes en mousse dans les arènes préparés pour ça, mais malheureusement nous les avions laissées chez nous faute qu’on ne voulait pas voyager trop lourdement.
Samedi soir
Un peu déçu de ne pas être allé au Free Comic Book Day, nous nous rattrapâmes avec Capitaine América: Civil War. Sans dévoiler le contenu, je l’ai apprécié parce qu’il nous donne un peu une pause sur les méchants crée l’action pour miser sur la personnalité des héros et remettent en question leur motivation d’être. C’est grâce à ce film que je me dis que je ne retournerais plus jamais voir un film à Montréal un samedi soir (quand les enfants sont plus silencieux que les adultes…).
Bref, j’ai bien dormi malgré les ampoules qui se sont créées cette journée.
Dimanche
Il pleuvait, donc toujours pas de combats avec les armes en mousse, mais nous prenions un peu plus de temps pour regarder les spectacles dans la salle marchante. Un spectacle de musique anglais et français, du baladi en quantité industrielle, des claquettes et des animateurs de foire.
Nous avions aussi le droit à une parade de mode avec les nouvelles collections de certaines boutiques.
Nous finîmes notre journée sur des cracheurs de feu avant de retourner à la maison écouter la fin de la saison 2 de Chuck.
Les kiosques
Beaucoup de marchants offraient des armes médiévales à des prix raisonnables avec des vêtements et accessoires. Quelques-uns optaient pour la remontée du Steampunk avec la venue des GN post-apocalyptiques tel que Isotope Blue. D’autres étant moins populaires: Harpistes, chandelles en cire d’abeilles, information sur les groupes musicaux… mais aidait un peu changer de décor et profitait moins du portefeuilles.
J’aurais voulu plus de magasin avec de la vaisselle décorum pas trop cher. Quand on en cherchait, c’était disponible dans un petit coin bourré de gens et c’était surtout des verres. Pas vraiment de paniers ou de belles couvertures en laine… On misait vraiment sur ce que les clients cherchaient surtout: des armes, des armures, des vêtements et accessoires.
Je vous laisse sur ça. Prochainement, il y aura probablement un article sur mon premier GN: Bélénos.