Avant que le film ne soit sur les écrans, j’ai enfin décidé de dépoussiérer le trade paper back du seul Suicide Squad que j’ai, le New 52, et j’ai acheté le numéro 1 de Rebirth ainsi qu’un autre Trade paper back juste pour vous… (Ceci est un mensonge).
Commençons par le film sans regarder les comics. C’était bien. Un bon film d’action et drôle. Les critiques criaient toutes sortes de points négatifs au même titre que Batman VS Superman. En effet, on aurait pu le rendre plus sombre et encore une fois on pleure devant les traductions minables du nom des personnages, mais mettons de côté le chialage futile. Je vois le film comme une petite partie qui mène au film de Justice League, donc il ne faut pas s’attendre à une grande place dans l’univers cinématographique de DC. Le seul point négatif que je répète sans cesse c’est la grande place qu’occupaient Deadshot et Harley Queen. Évidemment, Harley Quinn est la touche humoristique et Deadshot le leader, mais il reste que les autres personnages ont quand même du potentiel, ici carrément inexploité. Est-ce par les cris des fans qui veulent encore plus de Boobs and Guns ? Comme beaucoup de gens, j’ai apprécié le nouveau Joker, qui donne une certaine fraicheur et un El Diablo moins saccadé que dans New 52, malgré son histoire modifié… En effet, les personnages avaient une certaine crise existentielle de leur méchanceté, donc ils agissaient plutôt comme des adolescents rebelles que de véritables méchants. Dans les bandes dessinées que j’ai vu, les méchants ne jouaient pas vraiment les diaboliques.
Pour ce qui est de New 52: Kicked of the teeth, une fois encore, ce sont Deadshot et Harley Quinn qui volent la vedette. En effet, King Shark n’est pas vraiment un personnage intéressant et El Diablo passe son temps à ne pas vouloir utiliser ses pouvoirs sur des innocents. L’équipe change rapidement de joueurs dû aux évènements et on reste plus dans les actions principales plutôt que connaître les nouveaux arrivants. On parle ici de zombies et une poursuite d’un de ces membres dangereux. La Star reste Harley Quinn qui, vers la fin du volume 1 du Trade Paper back, démontre une plus grande folie amoureuse que dans le film. Une bonne série testostérone.
Le comic récemment sorti de la série Rebirth commence tout juste à faire ses pas. Nous voyons l’influence du film sur les personnages choisis. Étrangement, je trouve qu’Harley Quinn ressemble drôlement à Hatsune Miku… Ça doit être mon imagination. Elle semble être plus jeune et immature, plus près d’une adolescente que dans New 52, qui semble lui rendre une vingtaine bien arrondie. Nous remarquons un Deadshot encore plus équipé et qui fait vraiment peur. Le Captain Boomerang, cette fois, s’approche au celui du film, mais en plus jeune et plus fonceur. Je m’ennuie quasiment du costume bleu avec des boomerangs… Ce qui est intéressant est le colonel Flag ! Il semble être moins jouer le paladin qui ferait tout pour son pays ou pour la femme qu’il aime. J’ai hâte de voir la suite.
Finalement, on retourne à un autre Trade Paper Back avec comme titre : Suicide Squad: Trial by Fire de la série de Secret origins. Harley Quinn n’est pas là, yeah! En effet, le rôle de l’humoriste sanglant revient à Captain Boomerang, qui est vraiment un personnage que j’aime détester…
L’histoire des personnages était décrite très rapidement au début, dont la celle de la fameuse Amanda Waller. Cette fois-ci, elle passait plus pour une femme déterminée qu’une méchante madame manipulatrice. Beaucoup de quêtes différentes basées sur l’action. Le groupe est souvent composé de Deadshot, The Enchantress et Captain Boomerang, mais l’équipe change de temps à autre faisant place à des vilains moins connus. J’ai apprécié la lecture qui ne demande pas beaucoup d’attention.
D’autres séries de Suicide Squad et de Rebirth suivront dans quelques articles. Il faut juste me donner le temps de les lire !