Ça y est, j’ai recommencé à traverser le miroir…
Cette semaine j’ai commencé une nouvelle partie du jeu de rôles d’Anima: Beyond Fantasy
le lundi sans oublier que c’était la troisième rencontre pour la partie de Iron Kingdom la semaine . Sans trop approfondir dans ces mondes, je peux constater qu’Anima est adressé à des joueurs sérieux et mon retour est difficile dû aux problématiques qui sont restées.
En effet, mon premier personnage était une invocatrice, pire erreur. Malgré les efforts du maître du jeu afin qu’on ne décroche pas, les personnages magiques, bas niveau, sont pénibles. En plus de devoir cacher sa magie pour ne pas se faire poursuivre par l’inquisition, il faut de trois à cinq tours pour être capable de faire un effet et ça c’est quand on réussit tous les jets de dés demandés. Cette fois-ci j’y ai été avec un personnage simple (Tao qui se bat en dansant) en voyant dans le visage de la nouvelle mage qui s’ennuyait. Alors les enfants, on ne fait pas de mage quand on veut essayer ce jeu.
Il demande aussi une rigueur et une écoute peu habituelle pour certain. Pour s’amuser dans Anima il faut savoir toutes ses capacités afin que les combats ne soient pas bourrés de questions. Il faut aussi être très patient, car un combat demande beaucoup de calculs. Alors les enfants, on prévoit son tour et on se prépare avant les parties.
Il y a beaucoup de possibilités afin de briser un jeu et Anima est une porte grande ouverte. Donc, le déséquilibre entre les joueurs peut se faire rapidement même sans faire exprès. On peut dire qu’à partir du niveau 4, la confiance des joueurs est un peu trop élevée au point de se sentir invincible. Alors les enfants, on fait attention de ne pas tuer le boss trop rapidement, car le MJ va mettre des monstres trop fort les prochaines fois qui risquent de tuer beaucoup de joueurs plus faibles.
Sur ce, je me suis quand même amusé, mais il ne reste que je déconseille fortement aux novices qui veulent absolument pas s’investir à fond.
Autre sujet, la saison 2 de Le client a toujours raison est sortie. J’ai écouté le premier épisode hier et je ne sais pas si j’ai apprécié. La première saison se passait dans une épicerie et au fur et à mesure que les épisodes se succédaient, j’avais l’impression d’un essoufflement. Émilie Bossé, fait un très bon travail, mais donne une impression de chialage à travers des sketchs malaisants. Appuyer sur des faits réels de son vécu et de spotted: client de marde, elle montre des faits désagréables que les clients font subir aux préposés au service à la clientèle. C’est drôle au début, jusqu’à ce qu’on se rende compte que c’est souvent le même type de sketch: un client arrive dit quelque chose de stupide et évident, l’employé essai de répondre avec un sourire et finalement le client à l’air encore plus stupide. Est-ce moyen de se donner raison de chialer contre toutes ces journées ou qu’on a juste l’impression d’être la personne qui n’a pas un QI en bas de 40? Je vais continuer à suivre les nouvelles aventures cette fois-ci dans un café pour voir si l’évolution va dans le sens positif.