Bonjour chers lecteurs ! Comme plusieurs internautes me réprimande n’être un « hater » (malgré qu’ils ont bien raison !), je vais tout de même dépeindre des aspects très positifs de mon aventure à travers Legend of Zelda – Breath of the Wild sur la Nintendo Switch. J’offre encore au jeu environs 2 heures par jour et y retrouve bien des éléments que j’adore…sautons à pieds joints dans le détail !
Déjà, la liberté de mouvement me ravis au plus haut point. Se balader à travers plaines, montagnes, forêts et marais malgré les niveaux des monstres et l’avancement de la quête principale. Par ailleurs, cette ouverture sur le monde prend souvent le joueur plus âgé au dépourvu, car la ligne conductrice est translucide et n’offre pas autant d’action que les quêtes ponctuelles vous permettant (à nouveau) de retrouver les poulettes perdues ! De l’humour dans les dialogues, l’achat de mobilier pour votre maison, dresser des chevaux…que de raison de persévérer à travers tous ces décors !
À travers mes sauts en paravoiles, mes escapades à la course et mes escalades, j’ai découvert plusieurs mini-boss, dont les célèbres Lynel, ces centaures féroces qui apparaissent dès la première version de Zelda à la Nes.
Les raisons de mon addiction continue : l’obtention de nouveaux objets, la photographie de ces derniers afin de nourrir notre encyclopédie et la découverte continue de coffres et de minéraux. Eh oui, à partir de là, nous pouvons aisément identifier le genre de joueur que je suis (bouuuuh !). N’empêche qu’en fait, je lance des bombes dans presque toutes les situations et utilise trop rarement mes autres habiletés (quoi, on peut chasser avec un arc et attraper les poissons à main nue !?). Il faut évidemment rappeler que les couleurs, que le système météorologique et que les transitions visuelles sont magnifiques et dignes de l’année 2017.
Voilà qui conclus mon actuel parcours du jeu et qui fait, je l’espère, preuve de mon affection certaine pour ce titre épique. Sinon…haters gonna hate !
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